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Le Front National de la Jeunesse en Moselle

3 février 2012

Lettre de Julien Rochedy aux jeunes Français



LETTRE AUX JEUNES FRANÇAIS

 

Par Julien Rochedy,
Président des Jeunes avec Marine

 

 

Etre jeune aujourd’hui, c’est devoir accepter le monde tel qu’il est, sans avoir aucun espoir d’en changer, ou simplement de pouvoir l’améliorer. Partout, tout le temps, on nous dit que nous ne pouvons rien faire contre la mondialisation, qu’elle est un fait, et que nous devons subir ses conséquences souvent désastreuses sans rien dire, et, si possible, avec le sourire. Partout, tout le temps, on nous dit que nous sommes dans l’Union Européenne et que c’est génial, même si la zone européenne est dans le monde celle qui a connu le moins de croissance ces dernières années, et que chacun s’accorde à dire que le monde européen est en pleine décadence. Ce n’est pas grave on vous dit ! C’est génial ! On nous dit que ceux qui envisagent une autre Europe – et donc qui veulent se débarrasser de celle-ci – sont des fous, des extrémistes, des insensés, et que par conséquent il n’y a rien à faire d’autre que d’accepter poliment l’Europe telle qu’elle est. Idem pour l’Euro : « revenir » au Franc serait une régression, et même si de nombreux économistes parlent de la crise de la monnaie unique, même si beaucoup expliquent que cette monnaie n’est pas viable, surtout dans un contexte de crise, ce n’est pas important : les « experts » médiatiques et politiques, les « gens sérieux », les cols blancs à revers noirs nous expliquent à la télévision que sortir de l’Euro serait une catastrophe et que ceux qui le souhaitent sont des malades mentaux. Rien à redire là-dessus donc, passez votre chemin. On nous dit aussi que l’immigration massive, que la France et l’Europe connaissent, est un fait inévitable, que nous ne pouvons pas bâtir des murs autour de nos Nations, ce qui est vrai, et qu’ainsi des millions de personnes vont venir nécessairement sur notre continent sans qu’on y puisse quoi que ce soit. C’est donc ça l’avenir, le multiculturalisme, le métissage, la disparition de la civilisation française et européenne telle qu’on la connait depuis des siècles et des siècles, voire des millénaires. C’est comme ça. Refuser un tel avenir, c’est être un odieux xénophobe, un raciste monstrueux, un mangeur d’enfants et un bourreau en herbe. De même, penser que la société de consommation, telle que nous la connaissons actuellement, sans foi ni loi, et qui a érigé l’argent en véritable Dieu, n’est pas un modèle parfait de société, et qu’il lui manque tout de même certaines valeurs fortes, celles que notre tradition et la culture nous ont léguées – eh bien penser une chose pareille fait de vous un passéiste, un rétrograde, un imbécile. Donc il vaut mieux ne pas penser du tout, c’est mieux ainsi. En gros, nous ne pouvons – nous ne devons – rien changer à la société. Sois jeune et tais-toi. Accepte. Baisse la tête. Essaie de te faire un maximum d’argent. Et songe à déménager, à quitter la France : il arrive même qu’on entende ça…

 

1. La machine à désespérer

 

En somme, jamais jeunesse n’a eu moins de perspectives que celle d’aujourd’hui. Ou alors, des perspectives déprimantes, inquiétantes, noires : chômage, insécurité, vacuité culturelle, anarchie identitaire. Inutile de vous citer les chiffres car tout le monde les connait, tout le monde sait à quel point il est désormais dur pour un jeune de rentrer sur le marché de l’emploi. Tout le monde sait que c’est parmi les jeunes qu’il y a le plus de chômage, et par conséquent, que c’est eux qui ont le plus de difficultés à pourvoir à leur existence matérielle. Et en plus on entend partout une vérité qui fait peur : nous sommes dans une crise économique terrible, et celle-ci va s’amplifier. Avec elle toujours plus de plans d’austérité, donc moins de pouvoir d’achat, moins d’emploi, plus de précarité. Pas très réjouissant tout cela… Autre domaine inquiétant : la sécurité et le « vivre-ensemble ». Les jeunes connaissent mieux encore que leurs ainés les ratonnades, les viols, les rackets, les bagarres pour rien, les insultes dans le métro et dans la rue, les regards en chiens de faïence qui s’échangent entre toutes les communautés qui vivent désormais sur le territoire national. Beaucoup de jeunes ont bien conscience que cette triste réalité ne va faire qu’empirer, et que s’il est déjà difficile de vivre aujourd’hui dans une telle société que plus rien ne réunit, il sera sans doute encore plus douloureux d’y vivre dans dix, vingt, trente ans. Et ce n’est pas tout ! Au milieu de ces écueils et difficultés, beaucoup de jeunes ne peuvent même pas se repérer à l’aide de cadres, être mus par des valeurs fortes, être rassérénés par une identité solide. La plupart ne savent même plus qui ils sont, faute qu’on leur ait enseigné l’Histoire, et le reste déteste ce qu’ils sont, parce qu’on le leur a mal enseigné.Des lors, ils ressentent un néant en eux-mêmes, ils sont suspendus dans le vide, ils respirent dans une vacuité culturelle et identitaire contraire à tout idéal d’humanité. Quelles en sont les conséquences ? Beaucoup, hélas, beaucoup trop, cherchent à s’abandonner, à se perdre dans une consommation excessive d’alcool ou de drogues. Un très grand nombre se suicident aussi, un nombre alarmant. Ils cherchent en somme tout ce qui fait fermer les yeux.

 

2. Quelles sont les causes, qui sont les responsables ?

 

Alors, dans ces conditions, que faire ? Quoi penser ? Comment réagir ? Etre résigné, comme une bonne partie du système, come tous les puissants voudraient nous intimer de l’être ? Non merci, pas possible : des jeunes ne peuvent résolument pas accepter de ne plus croire en rien, de ne plus rien vouloir tenter pour améliorer, pour amender le monde. Si un peu de vie coule dans nos veines, c’est pour l’utiliser à bon escient, pour essayer de faire de notre mieux, sinon ça ne vaut pas la peine. Que faire donc ?

 

D’abord se demander d’où vient cette situation dramatique, quelles sont les causes des problèmes que nous connaissons. De l’économie jusqu’à la culture, les causes sont toutes politiques. Si la dette qui pèse sur nos épaules est immense, c’est parce que des hommes politiques l’ont contractée pour nous ; si le marché de l’emploi est bouché, que le niveau de vie baisse, c’est parce que des financiers et des spéculateurs ont pris la prééminence dans l’économie, et que celle-ci leur fut offerte sur un plateau par des hommes politiques ; si l’insécurité menace nos vies, bouleverse notre sérénité, détruit le « vivre-ensemble », c’est parce que des hommes politiques ont laissé des logiques mafieuses prospérer, c’est parce qu’ils ont laissé saborder l’éducation nationale, c’est parce qu’ils ont entassé des gens de toutes les origines, anarchiquement, dans des banlieues, c’est parce qu’ils n’ont pas pris les mesures nécessaires pour punir les coupables et défendre les victimes ; si l’immigration est massive, au point de peser à la baisse sur les salaires de tous les salariés français (et c’est pourquoi le grand patronat la souhaite : pour s’en servir comme d’une main d’œuvre bon marché), et surtout au point de menacer la cohésion identitaire et culturelle de tout un peuple, ce qui lui fait courir le risque de se déliter totalement, eh bien tout cela est dû à des hommes politiques qui ont bien voulu céder au patronat qui réclamait cette immigration, et céder encore à des revendications de l’extrême-gauche qui, à l’instar des trotskistes, a toujours plus ou moins clairement exprimé son souhait de changer les populations du vieux continent. Et j’en passe. On pourrait également rentrer dans le détail : à chaque fois, de près ou de loin, ce fut à des décisions politiques que nous devons notre situation actuelle.

 

3. La bande des trois

 

Ces décisions, elles ne furent pas prises au hasard, ni par n’importe qui. Depuis trente ans, elles ont été prises par trois partis politiques, trois uniquement, dont le nom a pu éventuellement changer entre-temps, mais qui sont restés les mêmes : l’UMP (ex-RPR), le Modem (ex-UDF) et le PS. Ces trois partis politiques ont gouverné la France, par leurs présidents successifs : Giscard pour l’UDF-Modem (le Centre), Mitterrand pour le PS, Chirac et Sarkozy pour l’UMP. Il leur est même arrivé de gouverner ensemble (ndlr : les différentes cohabitations, Mitterrand-Chirac, Chirac-Jospin, et Bayrou, chef de file des centristes, qui fut ministre sous trois gouvernements de droite !). Ces trois partis se sont partagés le marché, ont tous trempé dans des affaires douteuses, et occupent encore les différentes strates du pouvoir en France. C’est encore ces trois-là qui président à notre destin. Et aujourd’hui, à nouveau, pour l’élection présidentielle de 2012, on semble nous faire croire que seulement trois candidats sont susceptibles de l’emporter et de prendre la présidence : Sarkozy, Hollande et Bayrou. L’UMPSCENTRE. Le reste des candidats n’étant soi-disant pas sérieux, pas légitimes, pas crédibles, pas avalisés, en quelque sorte.

 

Qu’importe que ces trois candidats aient les mêmes idées sur à peu près tout. En tous les cas, sur tout ce qui engage véritablement notre avenir. J’exagère ? Je mets indûment « tout le monde dans le même sac » ? Sans doute oui. Et j’assume. Regardons-les d’un peu plus près…

 

Comme leurs prédécesseurs (Chirac, Mitterrand, Giscard), ils mènent notre pays dans une seule et même direction. Ils sont d’accord sur l’Europe, sur l’Union Européenne, sur le libre-échangisme sans frein ni protectionnisme, sur le dogme de l’Euro (« y rester à tout prix » disent-ils… mais pourquoi ?), sur la nécessité d’une immigration massive (200 000 « réguliers », sans parler des clandestins, qui rentrent en moyenne chaque année en France sous Nicolas Sarkozy, soit plus que sous Lionel Jospin !), sur le laisser-aller que connait la société dans les domaines de la culture, de l’école, de morale publique, et j’en passe, jusque dans celui de la sécurité ! D’accord sur tout. Leurs « grands combats politiques » ne s’expriment que sur la place d’une virgule, que sur des vétilles sans réelle importance.

 

Sans compter que la crise économique que nous connaissons les a rapprochés considérablement. Ne souhaitant pas réformer le système au niveau global, voulant persister dans une mondialisation sans freins ni lois, les trois sont forcés d’accepter les plans d’austérité que leur demandent les marchés financiers. Ils ne peuvent rien faire d’autre que d’essayer de ramener une certaine rigueur budgétaire – budget qu’ils ont eux-mêmes saigné – une certaine rigueur qui se fera nécessairement sur le dos des Français, comme nous avons pu le voir chez nos camarades grecs, et bientôt italiens, irlandais, portugais, espagnols, etc.

 

4. Une autre voie, une autre voix

 

Et comment nous font-ils accepter cela à votre avis ? Grâce à ce que je vous disais plus haut, ils se mettent à chanter, et avec eux bon nombre de médias, ce triste couplet : « Nous n’avons pas le choix, nous ne pouvons pas faire autrement, penser l’inverse serait être fou ». Et ça marche, on ne compte plus les résignés en France ! En vérité, ceux qui iront voter Sarkozy, Hollande ou Bayrou, en avril 2012, sont soit des naïfs qui s’imaginent que ces derniers feront demain ce qu’ils n’ont pas su faire hier, soit, avant tout, des résignés qui ne croient plus que l’on puisse changer quoi que ce soit. Soit l’un soit l’autre. Quelle tristesse !

Ils veulent avant tout faire croire qu’on ne peut rien faire d’autre que leur propre politique afin d’éviter qu’une candidate parvienne au pouvoir et puisse mener une tout autre politique. Cette candidate, c’est Marine Le Pen. Elle seule a un véritable projet alternatif à proposer à la France, un projet cohérent, réfléchi, clair, qui rompt vraiment avec tout ce qui a été fait depuis trente ans. Si jamais cette candidate arrivait au pouvoir et que son programme fonctionnait, ramenant la prospérité, la sécurité et la confiance, il deviendrait alors évident que les autres n’étaient que des incapables, des menteurs, et pour beaucoup même, des corrompus ! Ils font donc tout pour lui interdire la voie du pouvoir.

Pour ce faire, ils utilisent d’abord le vieil expédient du passé, celui qu’ils ont utilisé avec Jean-Marie Le Pen : la diabolisation. Ils disent en cœur que Marine est une extrémiste, qu’elle est « d’extrême-droite », qu’elle est « populiste », afin de faire peur dans les chaumières. Ils ne justifient plus leurs assertions calomnieuses, car ils n’ont pas d’arguments : ils jouent simplement sur les peurs, pour détourner les regards des Français de la seule alternative possible et crédible.

En quoi Marine Le Pen et le Front National sont-ils d’extrême droite ? Ont-ils déjà refusé les élections démocratiques, le choix du peuple ? Jamais. Le projet de Marine n’est ni raciste ni xénophobe, il est patriote et plein de bon sens. Ce n’est pas parce qu’on veut stopper une immigration à qui l’on a plus rien à offrir que l’on est xénophobe. Ce n’est pas parce qu’on veut réserver les aides aux seuls citoyens français (quelles que soient leur origine ou leur religion) qu’on est raciste. Marine ne s’oppose pas à l’avortement, et, sur la peine de mort, elle veut faire un référendum pour que les Français choisissent eux-mêmes. Quant à la défense inconditionnelle de la France, de sa souveraineté, de son peuple, de son économie – qu’y a-t-il d’étonnant dans le fait que des hommes politiques français élaborent des projets d’abord pour…la France ?

 

5. Oui, les solutions de Marine sont les bonnes


Ensuite, quand ils s’aperçoivent que la diabolisation ne marche pas avec Marine, ils changent leur fusil d’épaule. De fait, l’arme politique de la diabolisation ne fonctionne plus aujourd’hui, tant il parait ridicule aux Français de présenter une femme divorcée, avec trois enfants, ancrée dans son temps, et au discours raisonné et clair, comme une horrible fasciste futur dictateur et mangeuse d’enfants. Alors ils disent autre chose, ils utilisent un autre mensonge : le projet de Marine serait une catastrophe économique pour la France. Ah ! Tiens donc !

Il est déjà drôle de constater que cette critique provient précisément de ceux qui sont à l’origine, et qui sont les acteurs, du lent déclin économique que nous connaissons depuis des années, du chômage, de la baisse de la croissance, de la dette faramineuse etc. Quand un nul en économie vous dit que vous le seriez éventuellement, sous prétexte que vous ne voulez pas faire comme lui, c’est qu’a priori vous êtes sur la bonne voie !

Recouvrer sa souveraineté monétaire afin de pouvoir utiliser à nouveau la monnaie comme un outil économique (notamment en dévaluant, ce qui permettrait retrouver la compétitivité dont nous avons grand besoin) ; utiliser l’outil du protectionnisme (comme la plupart des pays dans le monde), afin de réindustrialiser notre pays, pour que la croissance reprenne, pour que notre pays exporte et produise ; et enfin redonner à la Banque de France ses prérogatives, lui permettre à nouveau de prêter au Trésor, pour ne plus être dépendant des marchés financiers, qui ont aujourd’hui tousles pouvoirs. Tels sont les trois grands axes du projet économique de Marine Le Pen, validé par de très nombreux experts, et seul capable de remettre la France sur les rails. Les autres ne proposent rien, si ce n’est continuer à faire ce qu’ils font déjà depuis trop longtemps et qui ne marche pas.

Que veut un jeune aujourd’hui ? Que souhaitons-nous, dans notre grande majorité ? Nous souhaitons trouver un emploi qui permette de nous garantir un pouvoir d’achat conséquent. Nous souhaitons ne plus avoir peur dans les rues. Nous souhaitons créer une famille et vivre dans notre pays. Nous souhaitons être bien formé et bien éduqué. Nous souhaitons, enfin, avoir une identité, être quelque chose, être fier de ce que nous sommes. Ces demandes sont légitimes et normales. Le projet de Marine peut seul nous garantir ces désidératas.

1° Les mesures économiques qu’elle propose permettront de recréer des emplois, et donc de retrouver la croissance. Sous le règne des autres, le chômage n’a fait qu’augmenter (en particulier chez les jeunes) et le pouvoir d’achat diminuer.

2° Marine Le Pen peut garantir la sécurité en punissant les délinquants comme ils doivent l’être, en favorisant les forces de maintien de l’ordre et en faisant appliquer la Loi, trop souvent bafouée, alors que les autres n’ont fait qu’abdiquer face aux mafias et aux voyous.

3° Marine veut aider et protéger les familles, par des mesures efficaces et justes (comme la possibilité de choisir le salaire parental, permettant aux femmes – ou aux hommes ! – qui le souhaitent d’élever leurs enfants en étant rémunéré). Elle seule peut permettre à la France d’avoir un avenir, là où les autres ne font que le biaiser.

4° Marine veut valoriser l’apprentissage, l’université, l’instruction nécessaire à l’épanouissement des jeunes, et ainsi faciliter leur entrée sur le marché du travail. Elle souhaite également que nous apprenions notre Histoire, essentielle pour savoir d’où l’on vient et donc où l’on va. Les autres, vous le savez, ont « saigné » les programmes d’Histoire, ce qui est scandaleux.

5° Marine veut arrêter les politiques d’immigration massive qui concourent dangereusement à la défrancisation de notre pays, en créant un monde de nomades sans racine. Elle veut empêcher le communautarisme, qui est en train de détruire tout bonnement le vivre-ensemble. Elle veut, enfin, nous redonner la fierté d’être français, afin de nous rendre la confiance en nous-mêmes et en notre avenir.

 

La candidate « naturelle » de la jeunesse


Autrement dit, un jeune qui veut avoir un avenir en France n’a pas le choix. Les autres (UMPSCENTRE) feront une France de l’insécurité, du chômage, de l’austérité, du communautarisme et de l’abêtissement. Et qu’on ne dise pas que ce n’est pas certain ! Ca fait déjà quarante ans qu’ils instaurent une telle France. Il n’y aura aucun deus ex machina ou je ne sais quelle opération du Saint Esprit qui les feront changer d’un seul coup.

Et puis, entre nous, nous qui sommes jeunes, nous qui sommes censés avoir plein de vie dans nos coeurs, plein de fougue, d’énergie et de volonté, comment pourrions-nous choisir une autre, dans cette élection présidentielle de 2012, que Marine Le Pen ? Comment pourrions-nous être conformistes et résignés, au point de voter toujours pour les mêmes ? Ce n’est sérieusement pas possible ! Une grande partie des jeunes, d’après les sondages, est déjà derrière Marine, mais il faudrait que toute la jeunesse le soit ! C’est possible ! Ça tient à pas grand-chose : une prise conscience et un esprit de révolte ! Deux éléments sans lesquels nous nous ne pourrons jamais avoir d’avenir, deux éléments sans lesquels il ne nous restera plus qu’à fermer les yeux.

Aux jeunes qui se posent encore des questions et qui hésitent, je ne saurais trop conseiller d’aller chercher la vérité par eux-mêmes, de ne jamais se contenter de ce que les grands médias et les « on-dit » éculés nous racontent. Qu’ils aillent par eux-mêmes écouter ce que dit réellement Marine Le Pen, qu’ils aillent lire son projet, qu’ils se renseignent sur la vraie nature de ses opposants, et, si cela ne suffisait pas à les convaincre, qu’ils viennent nous rencontrer dans nos réunions et nos meeting. Ils y verront le visage d’une France qui croit en elle et qui veut, qui peut, vraiment changer le cours du destin.

Venez donc nous rejoindre ! La France a encore de beaux jours devant elle, et ces jours, ce sont les vôtres !

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3 février 2012

Communiqué de presse du FNJ Lorraine

Stop au saccage des universités !


Inacceptable...


Stop au saccage des universités !2









Dans la nuit de lundi à mardi, les murs de la faculté de Nancy 2 ont été recouverts par des tags. On peut y lire « feu aux prisons » ou encore « vive le vandalisme, des pavés aux CRS ». De façon récurrente, des groupes d'extrême-gauche détériorent ainsi les locaux de la faculté, obligeant les services d'entretien à réparer ces dégâts.

 

Manifestations de défense des sans-papiers, grèves, collage sauvage d'autocollants... le campus Lettres de l'Université de Nancy 2 devient peu à peu une zone où les groupes d'extrême-gauche règnent impunément en maîtres.

 

Le FNJ de Lorraine dénonce l'abandon par le pouvoir des universités, désorganisées par les suites de la loi LRU du 10 août 2007. Avec Marine Le Pen au pouvoir, l'Etat reprendra ses responsabilités et rendra ses lettres de noblesses à l'université pour que les étudiants trouvent en elle un agréable lieu de travail pour construire leur avenir et donc l'avenir de la Nation.

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